Les infos de Gaïa

  Les Moxas : un trésor ancestral pour équilibrer l’énergie La moxibustion, plus connue sous le nom de moxa , est une pratique issue de la médecine traditionnelle chinoise (MTC) . Utilisée depuis plus de 2 500 ans, elle accompagne le corps dans son équilibre énergétique, soutient la vitalité et renforce les défenses naturelles. D’où viennent les moxas ? Le terme moxa vient du japonais mogusa , qui signifie armoise séchée ( Artemisia vulgaris ). C’est cette plante, réduite en poudre et compressée en bâtonnets ou en cônes, qui est utilisée dans la pratique. En MTC, l’armoise est considérée comme une plante chaude et yang. Elle est utilisée pour réchauffer le corps, stimuler le flux énergétique (Qi) et dissiper les blocages qui entravent la circulation. À quoi servent les moxas ? Les moxas sont utilisés pour : Réchauffer une zone ou un point d’acupuncture trop « froid » ou manquant d’énergie. Soulager les douleurs (articulaires, musculaires, lombaires, règles douloureus...

  Le péritoine : ce gardien discret de notre ventre Quand on parle de santé digestive, on pense souvent à l’estomac, aux intestins ou au foie. Mais il existe un acteur plus discret, essentiel à l’équilibre de notre ventre : le péritoine . Qu’est-ce que le péritoine ? Le péritoine est une fine membrane protectrice qui tapisse l’intérieur de l’abdomen et enveloppe la plupart des organes digestifs. On pourrait le comparer à un papier de soie délicat qui garde les organes bien en place, les protège et leur permet de glisser les uns contre les autres sans frottement grâce à un léger liquide lubrifiant. À quoi sert-il ? Protection des organes digestifs. Lubrification pour éviter les frottements. Soutien immunitaire , en première ligne contre les infections abdominales. Voie de passage pour les vaisseaux sanguins et les nerfs qui nourrissent nos organes. Quand ça se complique… Le péritoine est parfois concerné dans certaines pathologies : Péritonite * (inflam...

  Moins de canapé, plus de santé. Une récente étude menée par la UK Biobank a suivi près de 86 000 personnes équipées de capteurs de mouvement . L’objectif : observer l’impact de l’activité physique quotidienne, même légère, sur le risque de développer un cancer. Les résultats sont clairs :  Plus on bouge, moins on a de risques de cancer.  Même de simples gestes – marcher, se lever de sa chaise, bouger dans la maison – sont associés à une baisse significative du risque. Quelques chiffres d'essais cliniques : Par rapport aux personnes les plus sédentaires, celles qui bougeaient un peu plus voyaient leur risque diminuer de 16 % . Dans le groupe le plus actif, la baisse atteignait 26 % . Côté pas :  Au-delà de ces chiffres, les chercheurs ont aussi montré que remplacer une heure assis par : une activité légère (comme marcher tranquillement) réduisait le risque d’environ 7 % , une activité modérée à intense (comme le vélo, le jardinage, une séance...